IN HOC SIGNO VINCES

IN HOC SIGNO VINCES






« Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas »






























"L'idée seule de l'état démocratique lui tordait les entrailles.."

BOYLESVE











jeudi 27 novembre 2008

Traité de la religion royale française ou le vrai visage de Clovis



À l'occasion du XVème centenaire de ce qu'il est convenu d'appeler « le baptême de Clovis »dans la langue mensongère du « politicaly correct », l'auteur a voulu répondre d'une manière exhaustive à une question très-controversée : oui ou non, peut-on parler de l'élection divine de la France ? A-t-elle une mission divine salvatrice dans l'ordre politique pour toutes les autres Nations, conjointe et sub-ordonnée à celle de l'Église ? L'essence constitutionnelle de la France profonde est-elle vraiment à cause de cela « théocratique »(Joseph de Maistre) ? Ou alors s'agit-il d'un obscurantisme moyennâgeux, supprimé heureusement par les prodigieux éclaircissements de nos formidables historiens modernes ?

La question, sur le plan théorique (1ère partie de l'ouvrage), devient celle-ci : pour actualiser le bien commun dans nos Temps des Nations rachetés par le Christ, ne faut-il pas de toute nécessité une Institution divine dans la sphère politique, à l'instar de l'Église, une Nation véritablement « fondée par Dieu » (loi salique) ? Et n'y a-t-il pas là une nécessité théologique formelle pour le salut de l’homme, contrairement à ce que les scolastiques et saint Thomas d'Aquin ont professé, trompant, sur ce point si important, les papes modernes à commencer par Pie VII ? Évidemment, s'il en est vraiment ainsi, la Noël 496 (date bien exacte !) signifierait moins le « baptême de Clovis », que « l'Institution divine de la France, peuple, roy & terre, pour le salut politique du monde entier ». C'est bien sûr excessivement différent... effroyablement, même, pour les rebelles à tout Ordre divin et naturel.

L'auteur, dans un esprit de soumission totale à la Vérité, a lu pratiquement tout ce qui s'est dit à l'occasion du XVème centenaire, et, dans une joute superbe, l'a mis en combat singulier avec la tradition historique française. Il ressort de ce texte très-fouillé, très-érudit, que nos pères et les meilleures élites intellectuelles du « vieux-vieux temps » (Henri Pourrat), avaient mille et cent mille fois raison : le combat n'est pas du tout remporté par le négationisme prétendument « scientifique »des modernes, contrairement à ce qu'on croit (même chez certains… traditionalistes). Mais, hélas, la papauté post-révolutionnaire répudiera cette politique divine d’abord, croyant préférable de s'aboucher avec la Démo(n)cratie. Pour le plus grand malheur du monde et de… l'Église. L'auteur montre en effet à partir de documents historiques quasi inédits ou du moins complètement oubliés, que c'était en fait scier la branche sur laquelle l'Église était elle-même assise, parce que le droit divin direct de l'Église ne pouvait que mourir tôt ou tard de l’abolition de celui de la France, exactement de la même manière que lorsqu’on attaque le corps, il y a répercussion plus ou moins immédiate sur l’âme. Ce qui arrive... présentement, par la crise de l’Église issue de Vatican II.

La 2èmepartie de l'ouvrage, pratique, traite en profondeur des preuves historiques concrètes de la fondation et de la constitution divines de la France, tout-à-fait miraculeuses et uniques par rapport aux autres Nations ; puis, en finale, elle brosse un descriptif très-vivant de la société Très-chrétienne, et non juridique, comme cela a été trop fait jusqu'alors. La conclusion générale embrasse le problème conjoint des institutions nouvelles qui ont supplanté la France très-chrétienne & l'Église catholique, à savoir la république française & « l'Église conciliaire » (Cal Benelli). Oui ou non, sont-elles valides, légitimes, ou du moins peuvent-elles encore apporter un vestige de salut à l'homme ? La réponse montre qu’il aurait été de salubrité publique d’avorter ces deux filles du mysterium iniquitatis. Elle est terrible, véritablement apocalyptique, cette réponse, et inédite aussi, lorsqu’elle démontre que la Crise actuelle provient en droite ligne du rejet de la France sacrale par le concordat de Pie VII / Napoléon, lequel, en passant notamment par le Ralliement de Léon XIII et les Noëls 39-45 honteusement onusiens de Pie XII, a directement engendré la Liberté Religieuse hérétique du Vatican II de Paul VI.

Au total, ce livre magistral, écrit d'une plume alerte, enlevé, pleine de Foi et avec beaucoup d'humour, apporte une richesse d’argumentation peu commune, et, en d’autres temps moins cala(très)miteux, ferait évènement !

715 pages (Réédition 2003), format A4, 21 x 29,7 cm — 68,00 € (+ port : 5,50 €)

LE DEVOIR CATHOLIQUE DE NE PAS VOTER

Ce livre, qu’on fait paraître dans le cadre des élections présidentielles 2007 mais qui ne se cantonne certes pas à cette seule occurrence, traite de la question fondamentale suivante : est-il permis à un catholique de voter dans le cadre des républiques post-révolutionnaires ? Si l’on est conscient des exigences de notre Foi, la réponse est NON, formellement non. Évidemment, contre cette affirmation pourtant théologiquement sûre et indiscutable, on mettra en avant ce que les papes modernes post-concordataires ont dit en la matière (en ce compris, hélas, les plus saints) : tous ont toujours, invariablement, été dans le sens d’une légitimation des gouvernements athées que, pour ne prendre qu’un exemple, Pie VI osait scandaleusement appeler « les autorités constituées » à propos, pourtant, de l’un des pires d’entr’iceux-là (= le Directoire). Il n’en reste pas moins que notre thèse est catholiquement certaine. Et si l’on cherche à comprendre pourquoi les papes se sont et nous ont trompés sur le plan constitutionnel politique, l’enquête serrée montre que la grande responsable s’appelle la scolastique aristotélicienne qui veut faire reposer la validité de TOUT gouvernement, fût-il impie, sur l’être de raison, l’en-soi divin, et non sur l’économie de salut en cours. Ces deux points, évidemment fort importants, sont traités à fond dans deux ouvrages conjoints à celui-ci (« Les papes nous ont trompé en Politique » & « Saint Thomas et les scolastiques nous ont trompé en Politique »).

Quant à cet ouvrage-ci, il a plus simplement pour but de présenter au lecteur ce gravissime problème sous un angle pratique : montrer la naissance DIVINE de la France, que Dieu a forgée LUI-MÊME EN PERSONNE pour être l’archétype salvateur de toutes les nations du monde, sera montrer à tout regard politiquement digne et non-perverti, qu’une grâce divine extrinsèque à l’homme, et qui n’est pas dérivée des sept sacrements ecclésiaux, est NÉCESSAIRE pour actualiser le « bien commun » parmi les hommes. Tout y est tellement surnaturel, en effet, dans cette « extraordinaire conversion de Clovis » couplée à la naissance théocratique de la France (un pape de l’époque, à propos de la Noël 496, parlera de « déluge sacré »), qu’on aura vite fait de comprendre que la fondation de toute « Politique réelle » (Blanc de Saint-Bonnet) EST UN FAIT DIVIN SINON RIEN (d’où, soit dit en passant, l’hérésie de la formule maurrassienne « politique d’abord ! »). Car il ne faudrait pas s’imaginer la création divine de la France comme une exception qui confirmerait la règle que la politique appartient à l’homme. Cette genèse théocratique de la France est tout au contraire une merveilleuse illustration et preuve à la fois, que TOUTE vie politique réelle a Dieu et son Christ pour fondement, faute de quoi LA POLITIQUE N’EXISTE TOUT SIMPLEMENT PAS, mais seulement son animalisation, son diabolique ectoplasme, comme nos jours cala(très)miteux ne nous le montrent que trop. Autrement dit a contrario, « l’extraordinaire conversion de Clovis », bien désenveloppée dans son sens profond et historique, va montrer au lecteur l’impérieux et absolu « devoir catholique de NE PAS voter » dans le cadre républicain-démocrate post-révolutionnaire. Pour deux raisons fondamentales dont une seule serait suffisante pour asseoir ce devoir, à savoir :
1 / doctrinalement, parce qu’on prétend y fonder la Politique sur… la non-exis¬tence de Dieu, d’un Dieu qui, cependant, est le seul à pouvoir… créer en Politique ;
2 / moralement, parce que c’est un blasphème et même un sacrilège à la Face de Dieu (eu égard à l’Institution Très-Chrétienne qu’Il nous a amoureusement donnée pour notre salut), qu’on prétend ainsi supplanter dans un domaine qui Lui appartient.

Cet ouvrage, précédé d’une Introduction inédite, est le tiré-à-part des ch. X & XI du Traité de la religion royale française ou le vrai visage de Clovis, paru dans le cadre du 15ème centenaire du baptême sacral de Clovis (1996). Réédité en 2003, ce traité est toujours disponible aux Éd. D.F.T. (715 pp. 21 x 29,7 – 68 €).

365 pages (avril 2007), format 14,8 x 21 cm ...................... 20 € (+ port: 5 €)



Le dialogue des Carmelites

du R.P. Bruckberger et P. Agostini avec Jeanne Moreau, Alida Valli, 1960

Le Bal des Maîtres du Monde

P.Hillard "La marche irrésistible du nouvel ordre mondial"

samedi 22 novembre 2008

Léon Bloy : L’Apothéose de l'Idiotie ou les Rois qui demandent une Grenouille




L’Apothéose de l'Idiotie ou les Rois qui demandent une Grenouille

En ce temps d’élections, j’ai entr’ouvert timidement et péniblement le Manuel électoral Dalloz qui “se propose”, dit l’Avertissement, “de faciliter à chacun, par une exacte connaissance de la loi, l’exercice de ses droits et l’acccomplissement de ses devoirs électoraux”.
Dans mon ignorance, jusqu’alors parfaite et certainement très coupable, j’ai été stupéfait de l’étendue de mes droits. Il m’a semblé que je découvrais un continent. J’ai appris avec une joie que je renonce à exprimer, qu’il suffit d’être régulièrement inscrit pour être admis au vote, que cela suffit au point que le bureau ne pourrait exclure même un étranger, même un mineur, même un individu privé de ses droits électoraux par suite de condamnations judiciaires.
“Le bureau (je recopie textuellement) n’a pas même le droit de s’assurer que l’état physique, permanent ou accidentel, de l’électeur permet de recevoir de lui un vote valable. Par exemple, il doit admettre le bulletin d’un électeur sourd-muet qui ne saurait pas écrire. Jugé en ce sens que le bureau ne saurait refuser de recevoir le vote d’un individu qui ne jouit pas de ses facultés mentales, s’il est inscrit. Le bureau ne peut pas, d’autre part, refuser le vote d’un individu inscrit sur la liste électorale en se fondant sur ce que cet individu, en vertu d’une double inscription, aurait déjà voté dans une autre commune.”
Ici, commentaire marginal d’un lecteur astucieux qui m’a précédé : “Si ce “déménagé” inscrit ici et là, est, par dessus le marché, idiot, il votera donc deux fois!” Sans doute. Pourtant “le droit de prendre part au vote est suspendu pour les personnes retenue dans un établissement public d’aliénés”. Conséquence : “Le fou évadé est essentiellement électeur et, par suite, eligible.” Du même commentateur.
C’est admirable. L’Urne bâille pour tout le monde, sans exception. Soyez Chinois, apache ou Groenlandais; soyez au bagne, du ministère de l’Instruction Publique, du bureau des Longitudes ou de la maison Dufayel ; soyez acdémicien ou aviateur ; soyez cocu si cela vous chante : vous êtes inscrits, tout est au mieux. Il ne tient qu’à vous d’assurer le salut de la République et le bonheur du genre humain. Car ces deux objets seront le résultat nécessaire et tangible de votre vote.
On comprend l’éloquence de cette image qu’il me fut donné de contempler dans un récent numéro de l’Illustration : Un océan de mains levées et de chapeaux au bout des cannes, avec cette légende : “Le serment du parc de Treptow. Par 150000 mains levées, le peuple de Berlin affirme sa volonté de conquérir le Suffrage universel.” La Germanie entière nous envie cette toison d’or. Il ya de quoi.
Dans le Paradis terrestre toute l’espèce humaine socialisée, unifiée dans la personne indiciblement féconde du Premier Homme était sainte, par grâce et par nature, , inondée de la lumière béatifique, ruisselant de gloire et de beauté. Elle était comme un déluge de joie dans un déluge de splendeurs et se promenait au Jardin de Volupté, en la compagnie des tigres affables, des crocodiles suaves, des hippopotames conciliants, parmi des végétations divines dont le seul parfum guérirait tous nos malades et ressusciteraient tous nos morts. Eh! bien, tout cela est restitué par le Suffrage universel.
Aux âges de ténèbres où on ne le connaissait pas plus que la poudre à canon ou la pomme de terre, il était généralement et obscurément admis qu’un idiot devait être jugé tout à fait inapte à quoi que ce fût. Quelques-uns, il est vrai, furent monarques ou princes de l’Eglise et, quelquefois, non des moindres, mais plutôt par naissance que par élection. Le suffrage, alors très restreint, n’allait pas spontanément et de plain-pied aux crétins non plus qu’aux hydrocéphales. Autant que possible, on choisissait en haut. Aujourd’hui on choisit en bas et telle est la victoire de la raison humaine démaillotée de ses vieux langes.
L’idiot désormais est maître du monde, enfin! C’est lui qu’il faut, c’est lui qu’on demande. Lui seul est capable de représenter, de légiférer, de présider!
L’expérience est faite. S’il y a quelque chose d’impossible, c’est d’imaginer un homme, je ne dis pas supérieur, mais seulement doué d’une intelligence rudimentaire, pouvant être jugé digne de faire des lois ou d’exercer une fonction publique. Le crétinisme est rigoureusement exigé.



J’aime les inconnus. En voici un qui l’est à ravir. Il se nomme Henri Barbot et gagne sa vie comme il peut dans un journal de province. Si on lui rendait justice, les plus fiers quotidiens de Paris s’honoreraient de sa collaboration, ou plutôt il serait mis en état d’écrire en paix, dans sa maison, de nobles livres pour l’illumination et le réconfort de ce qui peut nous rester encore d’esprits généreux. J’ai beau regarder, je ne vois personne à son niveau dans le monde de la pensée philosophique, lequel monde, quoique devenu minuscule, n’est point beau à voir, il faut en convenir, ni même ragoûtant d’aucune manière.
J’ai donc consulté Henri Barbot sur le cas du Suffrage universel et voici, en substance, quelle a été sa réponse. Il me faut l’extraire d’une dissertation assez étendue que je voudrais voir intégralement publiée dans quelque revue retentissante.
La Divinité moderne, aussi bien pour les chrétiens et les juifs que pour les athées, c’est l’idole Quantité, le dieu Quantum, avec son culte plus exigeant, plus implacable que le Fatum antique.
Autrefois, il y a longtemps, quand les hommes avaient leur tête entre les deux épaules, on savait que la notion abstraite du Nombre ne devait pas être confondue avec la notion de Quantité. Il n’était pas permis, même aux enfants, d’ignorer que la Quantité, c’est le corps matériel, la tendance inférieure du Nombre, et que sa tendance supérieure, son esprit, sa part de lumière, c’est la Qualité.
La personne mystérieuse du Nombre dont nous ne connaissons ni le commencement ni la fin, est à la disposition de l’homme sous ces deux espèces. Parent du Nombre absolu, l’homme ne peut pas ne pas connaître, d’instinct fondamental, cet endroit et cet envers du Nombre abstrait. C’est le tissu même de sa conscience. Aussi ne lui est-il pas permis de dire après son choix : “J’ai agi sans connaissance de cause.” Il a conscience de ces deux aspects, comme il a connaissance de la verticalité et de l’horizontalité qui symbolisent si bien les deux tendances...
S’il y eut une époque où les hommes négligèrent la Quantité pour se tourner exclusivement vers la Qualité, c’est incontestablement le Moyen Age et cette époque peut nous offrir le spectacle ou du moins un avant-goût du spectacle qu’aurait pu donner au monde le plein épanouissement de cette tendance, mais il fut traversé brusquement et fauché par la Renaissance. Tendance verticale des lignes, élancement des ogives, amincissement et dégagement des clochers, des flèches. L’époque des donjons, des beffrois, des cathédrales, symbolisait ses tendances par des oeuvres en hauteur...
L’époque moderne, au contraire, allonge dans le sens horizontal ses ateliers, ses usines, ses tunnels, ses chemins de fer. L’effort de l’homme rampe à la surface de la planète. Aucune de ses oeuvres ne peut être appréciée autrement qu’en longueur. L’ordonnance, la proportion, ce qui qualifiait l’oeuvre n’existe plus. C’est au kilomètre et l’homme ne manque pas de proclamer magnifiques les vois ferrées les plus longues. Un tunnel de 10 kilomètres est dix fois plus beau qu’un tunnel de 1 kilomètre. C’est que la Quantité est essentiellement destructrice de la Qualité, si elle ne lui est soumise. Egaliser, niveler est pour elle d’une importance vitale et elle exige l’anéantissement de tout ce qui la dépasse. C’est une succession indéfinie de quantités perpétuellement égales.
Canaux, voies ferrées, lignes télégraphiques ou téléphoniques, paquebots express allant transmettre partout les oracles du nombre quantitatif : de la Bourse, quantité de l’argent ; de la Loi démocratique, quantité de l’opinion; et cherchant à violer, jusque dans le dernier recoin du globe, la magnifique liberté de ceux qui rejettent le nombre __ c’est-à-dire le chiffre, le numéro __ par amour de l’Unité.
Voyez ces usines dans lesquelles chaque ouvrier est l’élément, toujours le même, d’une addition plus ou moins énorme.
Voyez la guerre où tout courage individuel, tout héroïsme va être supprimé par un explosif plus terrible, par un plus grand coefficient d’expansion des gaz. Voyez les moeurs : les mariages conclus par la quantité de l’argent ; l’amour de la famille subordonné à la quantité de l’argent ; la liberté de penser, de dire et de faire, proportionnée à la quantité de l’argent ; la beauté, la vertu, l’intelligence, toutes les qualités enfin, taxées suivant la quantité d’argent qu’elles peuvent procurer, tout en un mot ramené à une valeur marchande, autant dire la prostitution universelle...
La Qualité ne peut s’exprimer à nous que par un symbolisme. Il faut qu’un homme, conscient d’une manifestation supérieure du Nombre, force la matière soumise à la Quantité qui est son expression, à répéter analogiquement, dans la tendance intérieure, ce qu’il a connu de la tendance supérieure. C’est la soumission absolue de la Quantité que l’artiste a maîtrisée et qui incarne, dans le temps et l’espace, aux yeux des hommes, l’harmonie incorporelle entrevue. En fixant dans la matière sa conception, l’artiste a, en quelque sorte, créé...
En résumé, le Nombre est conçu, en tant que Qualité, par la face supérieure de notre esprit et conçu en tant que Quantité par sa face inférieure. C’est donc la face inférieure de l’esprit humain, son mode de conception le plus bas, qui régit en maître, à l’heure où nous sommes, les intérêts majeurs de la société....
Le Protestantisme, en déchaînant la préférence pour la Quantité, s’est mis en tête du cortège triomphal de cette reine du monde. Et il y fut installé à tout jamais quand, après avoir conquis Henri VIII par les sens, il eut dicté à la volonté d’Elisabeth cet acte de soumission à la déesse du Plus-ou-Moins : “Que Dieu me donne quarante ans de règne, je me passerai bien de son ciel!” Dieu qui, sans doute, ne regarde pas à la Quantité, lui fit bonne mesure. Elle a régné quarante-cinq ans et on aime à croire que, depuis ce temps, elle a appris à se passer de la Qualité éternelle. Modelée sur cette parole, l’Angleterre ne pouvait manquer de prendre le pas sur les autres nations dans un temps où, grâce à une connaissance exacte du prix des choses, le commerce n’a plus à craindre la concurrence déloyale de Dieu offrant son ciel gratis pour tout le monde.
La préférence pour la notion de Quantité, portant avec soi la haine de la Qualité, règne donc en maîtresse dans la société chrétienne tout entière, car les catholiques ont suivi le mouvement. Depuis la Réforme, elle développe peu à peu toutes ses conséquences et nous approchons de son plein épanouissement. Si rien n’y met obstacle, tout ce qui est un privilège naturel ou une supériorité acquise, tout ce qui est éclatant, beau et grand, tout ce qui est qualifié , en un mot, va disparaître.
L’homme a choisi la Quantité, parce qu’elle ne peut admettre ni le Superlatif ni le Comparatif. Elle est elle-même le Positif __ par conséquent le dispositif. C’est une divinité assise ou couchée par terre à la portée de chaque électeur. Tout ce qui prétend se tenir debout déchaîne sa rage et périra Ce qui reste de Qualité dans le monde est caché et prisonnier au fond de certains coeurs, comme est prisonnier lui-même, au fond de son palais, le Souverain Pontife, image terrestre de la Qualité suprême.



J’ai accueilli cette réponse, véritablement transcendante, comme si elle m’était venue de Dieu même et je ne vois pas le moyen de prononcer d’une manière plus décisive contre le Suffrage Universel envisagé tel que la suprême sottise du genre humain, le gâtisme social, la paralysie générale des peuples, après quoi il ne peut plus y avoir que la plus ignoble des morts.
“Si la Providence”, conclut mon ami Barbot, “ne suscite pas un homme capable, par les qualités de son nom, de son âme, de son intelligence et de son énergie, de faire le contrepoids nécessaire, il faudra bien alors que le peuple paie pour son propre salut.” “Mais, me demandez-vous, faudra t-il donc voir couler le sang des martyrs?” Je vous répondrai : “C’est probable.” Et si vous ajoutez : “Ce monde en trouvera t-il encore?” alors je vous répondrai sans hésiter :”J’ en suis sûr ! ”
Eh! oui, on en est là, et malheur à qui ne le voit pas. Des martyrs, il y en aura peu, c’est probable, infiniment peu. Mais n’y en eût-il qu’un seul, Il aurait le terrible et prodigieux honneur d’accomplir, après Notre Seigneur Jésus Christ, la prophétie de Caïphe : Expedit unum hominem mori pro populo, ut non tota gens pereat.
Le suffrage universel, c’est l’élection du père de famille par les enfants. J’ai écrit cela je ne sais où. C’est donc l’extrémité de la démence. C’est l’immolation frénétique, systématique et mille fois insensée de la Qualité par la Quantité, par conséquent la course de plus en plus enragée vers l’ Inqualifiable.
Les juges cités au commencement de cet article sont dans la logique la plus rigoureuse, le principe d’expansion indéfinie de la Quantité ne permettant pas un autre point d’arrivée que l’Infinitésimal humain dans la petitesse de l’esprit, dans la bassesse du coeur, dans l’idiotie. Les élections, chaque fois, témoignent d’une accélération inouïe, fatale, vraiment symbolique et prophétique. Je ne sais plus ce qu’il y avait naguère, des chiffres quelconques déjà effrayants. Aujourd’hui, ce matin même, 9 mai, on marche avec plus de cinq cents idiots résolus sur un peu moins de cent imbéciles déterminés. Et voici que la comète approche pour confondre, s’il plaît à Dieu, les deux armées.
Les inexcusables, les impardonnables, ce sont les chrétiens, c’est-à-dire les catholiques, lesquels ont ou devraient avoir, à défaut de tout génie, la pratique des sacrements de l’Eglise, l’Eucharistie qui confère le Custodiat éternel, en d’autres termes la préférence déterminée de ce qui est en haut, le mépris absolu de ce qui est en bas, l’assurance plénière et l’appétition infinie d’une vie supérieure. Or, c’est précisément le contraire. Cela est à confondre la pensée.
Athées inconscients pour la plupart, mais athées pratiques, à épouvanter les démons, ils vont jusqu’à prétendre que c’est leur devoir de recueillir les fruits de l’arbre maudit où s’est pendu le mauvais apôtre et où ils finiront par se pendre tous en crevant par les intestins ; que c’est une obligation religieuse pour eux de donner leur vote à tel ou tel prostitué qui leur paraît un sauveur, simplement et bassement parce qu’il ne les dépasse pas.
Les “perfides juifs” qui avaient tout de même le sens de l’attraction supérieure, avaient cloué Dieu en haut. Les catholiques le clouent par terre, au niveau de la gueule des chiens. Le plus savant des anges ne pourrait plus leur faire comprendre que la multitude n’est rien, qu’on ne peut être sauvé ou délivré, comme l’enseigne l’histoire des siècles,que par un seul homme très haut, qui offre sa vie, et que même l’oligarchie la plus précieuse ne vaut pas un sou de plus que ce que vaut son chef. Mais où l’impuissance du plus grand ange serait surtout manifeste, c’est lorsqu’il entreprendrait de montrer que leur bulletin de vote soufflette Celui qui les a seul rachetés au prix de son Sang et dont ils se prétendent les adorateurs.
Les Maîtres chrétiens, ceux qu’on nomme les Saints, et dont l’Eglise a placé les ossements sur ses autels, se sont usés à enseigner, par la parole ou par l’exemple, qu’il n’y a que la prière sine intermissione, la parfaite confiance en Dieu, le déplacement des montagnes par la seule foi, le miracle enfin, et que tout le reste est billevesée. Il paraît bien aujourd’hui qu’ils ont enseigné cela tout à fait en vain.
Hier, dimanche 8 mai, huitième anniversaire de la destruction soudaine et brutale de Saint-Pierre Martinique, on faisait la fête de Jeanne d’Arc béatifiée et c’était, en même temps, le ballotage. L’occurence est fantastique. L’archevêque de Paris, qui avait, tout dernièrement, conseillé à ses fidèles diocésains de pavoiser et d’illuminer en l’honneur de la Pucelle, a tout à coup décommandé cette manifestation, afin de s’associer au deuil de l’Angleterre, car notre ineffable pontife a ceci de commun avec les plus grands saints, qu’il ne laisse échapper aucune occasion de se faire mépriser. Il a eu ce tact, qu’on ne peut assez admirer, de sentir l’inconvenance qu’il y aurait à glorifier Jeanne d’Arc, juste au moment où la sentimentale Angleterre est en train de pleurer son plus gros cochon. Cela nous met à une certaine distance des Martyrs et des Thaumaturges, n’est-ce pas? mon cher Barbot.
Il est tout à fait probable que ce grand chef religieux eût fait une avantageuse figure devant les Anglais, au procès de Rouen, s’il avait pu vivre et pontifier en 1431 et on peut considérer comme certain que, faute de mieux, il condamne aux feus éternels les rares catholiques modernes, trop français à ses yeux, qui vomissent de dégoût à la seule pensée de faire un choix dans le lupanar des candidatures électorales.
Donc, pendant qu’on accrochait ou qu’on décrochait guirlandes et girandoles, le ballotage fonctionnait, les dévots de Jeanne d’Arc étant descendus à la cuisine pour conditionner fraternellement, avec des républicains ou des socialistes variés, tel ou tel bouillon destiné à des chrétiens d’une autre chapelle. Les uns et les autres ont ainsi obtenu un mastic de représentation nationale, amalgame quantitatif de non pareils saltimbanques et d’irrémédiables idiots, nul Moïse, d’ailleurs, n’ayant élevé les mains au ciel pendant le combat.
Qu’une occasion nouvelle se présente, les catholiques accompliront leur devoir de la même façon, mais forcés, par la nature des choses, par le despotisme accepté du Nombre aveugle, de chercher toujours plus bas, à des myriamètres innombrables au-dessous de la haute Croix du Rédempteur, jusqu’à rencontrer le vrai Dieu des lâches, Satan lui-même, qui les prendra par la main et les conduira, plus bas encore, dans ses Ténèbres.


Léon Bloy, Journal, 20 mai 1910., Editions Robert Laffont, collection Bouquins, tome II, pp.148_153.

La souveraineté du peuple est une hérésie


LA SOUVERAINETÉ DU PEUPLE EST UNE HÉRÉSIE par Charles MAIGNEN

Docteur en théologie, 1892

INTRODUCTION

Ce qui divise la France en deux camps, ce n'est pas la forme du gouvernement c'est le principe de l'autorité.

Nous sommes en présence de deux doctrines : celle de l'Eglise : «Tout pouvoir vient de Dieu», et celle de la Révolution : «Tout pouvoir vient du peuple».

L'une et l'autre peuvent s'adapter aux différentes formes du pouvoir politique. La première a trouvé son application dans les républiques de Venise, de Gênes et des cantons Suisses, comme dans la monarchie française. La seconde a dominé les monarchies constitutionnelles, comme les trois républiques qui se sont succédées, en France, depuis la Révolution.

Tout n'est donc pas dit quand on s'est proclamé républicain ou monarchiste ; mieux vaudrait dire si l'on est partisan ou adversaire de la souveraineté du peuple.

Pourquoi, en pratique, la division se manifeste-t-elle plutôt, sur la forme que sur le principe de l'autorité ? Est-ce pure équivoque et malentendu ? Non. C’est que, en réalité, si toutes les formes politiques sont conciliables avec l'une et l'autre doctrine, il en est cependant qui répondent plus complètement à l'une ou à l'autre.

La philosophie enseigne que la monarchie est la meilleure forme de gouvernement et si l'Eglise devait se prononcer un jour sur la question de principe, sans proscrire aucune forme régulière, c'est en ce sens qu'elle le ferait.

Nous savons, d'autre part, que les partisans de la souveraineté du peuple, préfèrent la république à la monarchie, même constitutionnelle, et l'établissent ou tendent à l'établir partout.

Il est donc naturel qu'en France, pays de la logique et des conséquences extrêmes, la lutte des deux principes se manifeste par la lutte des formes politiques qui en sont, chacune pour sa part, la plus parfaite expression.

Avant tout, il faut poser nettement la question, telle qu'elle s'agite dans les esprits, afin d'avoir une pierre de touche qui permette aux vrais enfants de l'Eglise de se reconnaître, et qui fasse l'union, en séparant le bon grain d'avec l'ivraie.

Si les catholiques sont divisés, c'est parce qu'ils ne sont pas assez séparés de leurs ennemis. Plusieurs se laissent prendre aux apparences et aux formules ; il faut mettre en lumière et en évidence l'objet fondamental du débat et montrer où est l'ennemi, si vraiment on veut le vaincre.

Le dogme révolutionnaire de la souveraineté du peuple ; voilà l'ennemi !

Tant que cette erreur dominera les esprits, il n'y aura pas, dans le monde, un seul gouvernement qui puisse rester chrétien.

La monarchie chrétienne sera impossible, faute d'un peuple qui sache obéir, et d'un roi qui ose commander. La république chrétienne sera plus impossible encore, parce qu'il est insensé d'établir un gouvernement populaire, là ou le peuple ne connaît pas de limites à sa souveraineté. Il faut donc que tous les efforts de l'Eglise et des catholiques tendent à ce but : proclamer la déchéance de l'homme qui a usurpé, dans la société, la place de Dieu !

L'Eglise, un jour, le fera.

Elle frappera d'anathème, le dogme fondamental de la Révolution :

«Si quelqu'un dit que la souveraineté ne vient pas de Dieu, mais du peuple et réside essentiellement dans la nation, qu'il soit anathème».

Ce sera le jour du triomphe !

Mais, en attendant, nous catholiques, parlons, et proclamons hautement, en face de la bête révolutionnaire, ivre du sang des âmes qu'elle dévore, la royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ, source unique et seul maître de toute souveraineté.

C'est là, je le reconnais, un programme qui serait peu goûté des électeurs, et voilà le souci qui a rendu insuffisants et inefficaces les programmes rédigés jusqu'ici par les catholiques.

Mais le programme du parti catholique, ne doit pas être un programme électoral.

L'Eglise ne peut pas établir le peuple juge de ses différends avec l'Etat.

Si nous soumettons ses droits et ses immunités au verdict du peuple souverain, nous sommes bien coupables.

Prenons part aux luttes politiques pour instruire et non pour séduire.

Apprenons au peuple que s'il veut de bons gouvernants, il faut qu'il consente à avoir des maîtres.

Rappelons lui qu'il détient contre le bon sens et la justice, les droits incessibles du pouvoir souverain, et, si nous descendons dans l'arène politique, que ce ne soit pas pour lui dire l'Ave César des gladiateurs, mais le Credo des martyrs. (...)

Suite sur :

http://www.christ-roi.net/index.php/La_souverainet%C3%A9_du_peuple_est_une_h%C3%A9r%C3%A9sie_(Charles_Maignen)

Le Secret de Francois 1er





http://www.dailymotion.com/nenki/video/7305107

Les découvertes de Didier Coilhac auteur du livre Le Secret de François 1er ne sont pas banales. Un film documentaire réalisé pour la télévision et basé sur son livre Le Secret de François 1er a été réalisé par le cinéaste Marc Bielli. Les scènes des châteaux sont sublimes. On peut sentir le génie et l'esprit de la renaissance, la musique nous transporte dans le temps, à une époque oubliée qui possède ses mystères, son charme et ses trésors.
Pour en savoir plus..

Suite du documentaire ici :



http://www.marc-bielli.com/fr1.html

Citations

La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions.”

Président John Fitzgerald Kennedy (1917-1963), dans un discours fait à l’Université Columbia le 12 novembre 1963, dix jours avant son assassinat

“Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial.”

David Rockefeller

“Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité. La plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n’était.”

Winston Churchill (1874-1965), Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955

“Si c’était une dictature, ce serait beaucoup plus facile, tant et aussi longtemps que j’en serais le dictateur.”

George W. Bush, 43e président américain, 12 décembre 2000

“Tout est privilège concédé par l’état: votre voiture, votre maison, votre profession, bref votre vie; et ce que l’état donne, il peut le reprendre si vous n’êtes pas un contribuable docile.”

Pierre-André Paré, ex-sous-ministre au Ministère du Revenu du Québec, devant une commission de l’assemblée Nationale du Québec, rapporté par Le Devoir, le 6 avril 1996

“Un gouvernement mondial peut intervenir militairement dans les affaires internes de toute nation lorsqu’il désapprouve ses activités.”

Kofi Annan, Secretaire Général de l’ONU.

“La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre contre les Etats-Unis. Une guerre permanente, économique, une guerre sans morts. […] Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. Une guerre inconnue, une guerre permanente, sans morts apparemment, et pourtant une guerre à mort.”

François Mitterrand (1916-1996), Ex-Président Français. Commentaire lors d’un entretien privé avant sa mort, cité dans le Courrier International du 13 Avril 2000

“Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Persone ne fera parti du Nouvel Age sans recevoir une initiation Lucéférienne.”

David Spangler, directeur de l’Initiative Planétaire, un projet des Nations Unies

“Le Fascisme devrait plutôt être appelé Corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de l’état et des pouvoirs du marché.”

Benito Mussolini (1883-1945), Dirigeant Fasciste de l’italie de 1922 à 1943

“Le Gouvernement Mondial arrive. A vrai dire, il est inévitable. Aucun argument pour ou contre lui ne peut changer ce fait.”

Norman Cousins (1915-1990), auteur et directeur honoraire de l’organisation Planetary Citizens for the World We Chose, cité dans le Human Events, en 1985.

“Le but des Rockefeller et de leurs alliés est de créer un gouvernement mondial unique combinant le Supercapitalisme et le Communisme sous la même bannière, et sous leur contrôle. […] Est-ce que j’entends par là une conspiration? Oui, en effet. Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique.”

Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste américain tué dans l’attaque d’un vol de la Korean Airlines, dans un message public diffusé en 1976

“La police avait la réputation d’appliquer ses propres méthodes de justice sans attendre les conclusions d’un procès. Cela semble être devenu un trait endémique dans toutes les forces de police.”

Ex-Ministre Québécois des Affaires Autochtones John Ciaccia, extrait de son livre “La crise d’Oka – miroir de notre âme”, publié en 2000

“Le monde se divise en trois catégories de gens: un très petit nombre qui fait se produire les évènements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité.”

Nicholas Murray Butler (1862-1947), Président de la Pilgrim Society, membre de la Carnegie et du Council on Foreign Relations

“Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique.”

Marshall McLuhan (1911-1980), auteur et chercheur canadien

“La politique est un mécanisme qui sert à empêcher les gens de prendre part à ce qui les concerne directement.”

Paul Valéry (1871-1945), poète et auteur français

“Nous sommes convaincus que nous créons la base d’un Nouvel Ordre Mondial, qui émerge de l’effondrement des antagonismes Américains-Soviétiques.”

Brent Scowcroft, Conseiller à la Sécurité Nationale Américaine sous Gerald Ford et Georges H W Bush, et membre du CFR, cité dans le Washington Post en mai 1991

“Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence; leur unique objectif est le gain.”

Napoléon Bonaparte (1769-1821), Empereur Français

“Si vous désirez être les esclaves des banques, et payer pour financer votre propre esclavage, alors laissez les banques créer l’argent.”

Josiah Stamp (1880-1941), Gouverneur de la Banque d’Angleterre, 1920

“Le Council on Foreigns Relations est la branche américaine d’une société qui origine d’Angleterre et qui croit que les limites nationales devraient être abolies, et un règne mondial unique établi.”

Barry Goldwater (1909-1998), élu 5 fois Sénateur de l’Arizona

“Les nouvelles et la vérité ne sont pas la même chose.”

Walter Lippmann (1889-1974), auteur et journaliste américain

“Nous disons aux gens ce qu’ils ont besoin de savoir, pas ce qu’ils veulent savoir.”

Frank Sesno, vice-président du réseau CNN News

“L’éducation est un système d’ignorance imposée.”

“Des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour contrôler l’opinion publique.”

Noam Chomsky, professeur et auteur américain

“Il est aussi dans l’intérêt d’un tyran de garder son peuple pauvre, pour qu’il ne puisse pas se protéger par les armes, et qu’il soit si occuppé à ses tâches quotidiennes qu’il n’aie pas le temps pour la rebellion.”

Aristote (384-322 A. J.-C.) , extrait de Aristote sur la Politique - traduction de J. Sinclair, publié en 1962

“Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécéssaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyalité aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux.”

George Brock Chisholm (1896-1971), ex-directeur de l’Organisation Mondiale de la Santé

“Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin.”

Henry Ford (1863-1947)

“Nous travaillons présentement discrètement de toutes nos forces, pour retirer du fonctionnement des états nations du monde cette mystérieuse force appellée souveraineté.”

Arnold Toynbee (1889-1975), historien et philosophe anglais, lors d’un discours à Copenhague, en 1931

“Comme la civilisation devient plus complexe, et que la nécéssité d’un gouvernement invisible a été démontrée de façon croissante, les moyens techniques par lesquels l’opinion publique peut être régimentée ont été inventés et développés. Avec la presse écrite et les journaux, le téléphone, le télégraphe, la radio et les avions, les idées peuvent êtres rapidement répandues, voire instantanément, à travers l’Amérique toute entière.”

Edward Bernays (1891-1995), auteur et ancien dirigeant de CBS Television, dans son livre “Propaganda”, publié en 1928

“L’ALÉNA est une pierre angulaire majeure du Nouvel Ordre Mondial.”

Henry Kissinger

“Au prochain siècle, les nations comme nous les connaissons seront désuètes. Tous les états reconnaîtront une seule autorité centrale. La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout.”

Strobe Talbot, Secrétaire d’État député pour l’administration Clinton, 20 juillet 1992.

“Il est déja bien suffisant que les gens sachent qu’il y a eu une élection. Les gens qui votent ne décident rien. Ce sont ceux qui comptent les votes qui décident de tout.”

Joseph Staline (1879-1953), Dirigeant de l’URSS de 1929 à sa mort.

“Je suis inquiet pour la sécurité de notre belle nation; pas tant à cause d’une quelconque menace de l’extérieur, mais d’avantage à cause des forces insidieuses qui y opèrent de l’intérieur.”

General Douglas MacArthur (1880-1964)

“La véritable menace pour notre république est le gouvernement invisible, qui comme une pieuvre géante, étends ses tentacules gluants autour de nos villes, états et nations.”

John F. Hylan (1868-1936), maire de New York de 1918 à 1925

“L’élimination progressive de la race humaine règlera tous les problèmes sur terre; sociaux et environementaux.”

Dave Foreman, fondateur du mouvement Earth First!, et membre de la direction du Sierra Club de 1995 à 1998

“L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais il ne s’agit seulement que de son propre point de vue. Tout cela manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer son propre esprit, même si cette orientation libérale est attirante. Nous devons contrôler électriquement le cerveau. Un jour les armées et les généraux seront contrôlés par des stimulations électriques du cerveau.”

Dr. Jose M.R. Delgado, Directeur de la “Yale University Neuropsychiatry Medical School” et auteur du livre “Physical Control of the Mind, Toward a Psychocivilized Society”

“Depuis l’époque des Spartacus, Weishaupt, Karl Marx, Trotski, Belacoon, Rosa Luxembourg et Ema Goldman, cette conspiration mondiale a connu une croissance constante. Cette conspiration a joué un rôle décisif et identifiable dans la Révolution Française. Elle a été le berceau de tous les mouvements subversifs pendant le 19e siècle. Et finalement, ce groupe de personnalités extraordinaires du monde secret des grandes villes d’Europe et d’Amérique ont saisi le peuple Russe par les cheveux, et sont maintenant devenus les maîtres incontestables de cet énorme empire.”

Winston Churchill (1874-1965), Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955, cité dans le London Press, en 1922

“Notre travail est de donner aux gens non pas ce qu’ils veulent, mais ce que nous décidons qu’ils doivent avoir.”

Richard Salant, ex-président de CBS News

“Les nouvelles sont ce que nous voulons supprimer. Tout le reste est de la publicité.”

Frank Reuven, journaliste, producteur, et ex-president de NBC News

“Nous ne réussirons pas l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial sans en payer le prix en vies humaines aussi bien qu’en mots et en argent.”

Arthur Schlesinger Jr., historien et critique politique américain, dans le Foreign Affairs de juillet/août 1995

“Supposons que tout ce que vous savez n’est pas seulement faux, mais qu’il s’agit de mensonges soigneusement rédigés. Supposons que votre esprit est remplit de fausses croyances - sur vous même, sur l’histoire, sur le monde qui vous entoure - implantées là par des forces puissantes, de façon à vous leurrer dans la complaisance. Votre liberté est par conséquent une illusion. Vous êtes en fait un pion dans ce complot, et votre rôle est celui d’un crédule qui doit prendre son rang, si vous faites parti des chanceux.”

Charles Paul Freund, auteur et chroniqueur, dans un article intitulé If History Is a Lie: America’s Resort to Conspiracy Thinking, paru dans le Washington Post le 19 janvier 1992

“L’opinion publique est la clé. Avec l’opinion publique, rien ne peut faillir. Sans lui, rien ne peut réussir. Celui qui manipule les opinions est plus important que celui qui applique les lois.”

Abraham Lincoln (1809-1865), 16e président américain

“La première victime de la guerre est la vérité.”

“On ne paie jamais trop cher le privilège d’être son propre maître.”

Rudyard Kipling (1865-1936), écrivain et poète anglais

“Quiconque veut ravir la liberté d’une nation doit commencer par lui retirer le droit de s’exprimer librement.”

Benjamin Franklin (1706-1790), diplomate et signataire de la Déclaration d’Indépendance des Etats-Unis

“En politique, rien n’arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.”

Franklin Delano Roosevelt (1882-1945), 32e président américain

“Ce qui importe est d’insister sur la quantité croissante de preuves de l’existence d’une conspiration secrète, de par le monde, pour la destruction des gouvernements organisés, et la prolifération du Mal.”

Extrait de l’éditorial du Christian Science Monitor du 19 juin l920

“Le but du Concil On Foreign Relations est la dilution de la souveraineté américaine et de l’indépendance nationale dans un tout puissant gouvernement mondial unique.”

Chester Ward, Admiral à la retraite, et ancien membre du Council on Foreign Relataions, dans un mémo en 1975.

“Il y une chose pire encore que l’infâmie des chaînes, c’est de ne plus en sentir le poids.”

Gérard Bauër (1888-1967), écrivain Français

“Tant que l’indépendance n’est pas faite, elle reste à faire.”

Gaston Miron (1928-1996), poète québécois

“Divers groupes oeuvrent dans l’ombre depuis des siècles. S’ils s’enveloppent d’un tel secret, c’est que leurs motivations ne sont pas claires.”

Albert Pike (1809-1891), auteur et idéologue américain, Maçon 33º et icône de la franc-maçonnerie.

“L’invisible Pouvoir de l’Argent est à l’oeuvre pour contrôler l’humanité et la réduire à l’esclavage. Il a financé le Communisme, le Fascisme, le Marxisme, le Zionisme et le Socialisme. Tous sont conçus pour faire des États-Unis un membre du Gouvernement Mondial.”

Extrait de la page 92 du American Mercury Magazine de décembre 1957

“Nous aurons un gouvernement mondial, que nous le voulions ou non. La seule question est à savoir si le Gouvernement Mondial sera instauré par l’adhésion, ou par la conquête.”

James Paul Warburg (1896-1969), officier de l’OSS et membre du CFR, le 7 février 1950, devant le Sénat des États-Unis.

“Votez pour moi et je vous donnerai des valeurs familiales. […] Je vous promets l’administration la plus éthique de l’histoire de notre pays.”

William J. Bill Clinton, 42e président américain, avant son élection à la présidence

“Je vais vous dire quelque chose de très clair; ne vous inquiètez pas de la pression américaine sur Israël, nous, le peuple Juif, contrôllons l’Amérique, et les américains le savent.”

Ariel Sharon, premier ministre Israélien, dans un entretien avec Shimon Peres, le 3 octobre 2001

“La démocratie, c’est la dictature de la loi.”

“Il faut frapper le premier, et frapper si fort que votre adversaire ne se relèvera pas.”

Vladimir Poutine, président de la Russie

“Pour obtenir le contrôle total, deux ingrédients sont essentiels : une banque centrale, et un impôt progressif, pour que les gens ne s’en rendent pas compte.”

Karl Marx (1818-1883)

“Je crois à la vertu des petits peuples. Je crois à la vertu du petit nombre. Le monde sera sauvé par quelques-uns.”

André Gide (1869-1951), écrivain Français

“Une population mondiale totale de 250-300 million d’individus, une diminution de 95% de la population actuelle, serait idéale.”

Ted Turner, milliardaire fondateur de CNN, dans une entrevue pour Audubon Magazine

“Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas derrière le rideau.”

Benjamin Disraeli (1804-1881), Premier Ministre Britannique de 1874 à 1880

“Pour enchaîner les peuples, on commence par les endormir.”

Jean-Paul Marat (1743-1793), scientifique, journaliste et protagoniste important de la révolution française.

“Il n’y a pas de mauvais peuple, il n’y a que des mauvais bergers. Un peuple ne se trompe pas, il est trompé.”

Jean-Jacques Servan-Schreiber, journaliste et homme politique français

“L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse, qu’il ne peut croire qu’elle existe.”

J. Edgar Hoover (1895-1972), Directeur du FBI de 1924 jusqu’à sa mort

“Le gouvernement ne taxe pas pour obtenir l’argent dont il a besoin; le gouvernement trouve toujours un besoin pour l’argent qu’il reçoit.”

Ronald Reagan (1911-2004), 40e président américain

“En démocratie, la politique est l’art de faire croire au peuple qu’il gouverne.”

Louis Latzarus (1878-1942), auteur et journaliste français

“L’État possède le monopole de la violence légitime.”

Max Weber (1864-1920), politicien et économiste allemand

“Il y a deux histoires: l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où se trouvent les véritables causes des évènements.”

Honoré de Balzac (1799-1850), écrivain français

“Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire.”

George Orwell, nom de plume de Eric Blair (1903-1950), auteur de 1984

“Le monde peut par conséquent saisir cette opportunité, pour remplir la promesse de longue date d’un Nouvel Ordre Mondial, où des nations diverses sont rassemblées dans une cause commune pour accomplir les aspirations universelles de l’humanité.”

George Herbert Walker Bush, 41e président américain, en référence à la crise du Golfe Persique

Preuve Visuelle! Article du Vancouver Sun …

“L’éducation est comme l’alcool; certaines personnes ne le supporte pas.”

Maurice Duplessis (1890-l959), Premier Ministre du Québec de 1936 à 1939 et de 1944 à sa mort

“Nous vivons dans un monde sale et dangereux. Il y a des choses que le grand public n’a pas besoin de connaître, et ne devrait pas connaître. Je crois que la démocratie prospère quand le gouvernement peut prendre des actions légitimes pour garder ses secrets, et quand la presse peut décider de publier ce qu’elle sait ou non.”

Katherine Graham, éditeure du Washington Post et Bilderberg

“Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission des devises et du crédit soit restoré au gouvernement comme sa responsabilité la plus évidente et sacrée, toute référence à la souveraineté du parlement ou à la démocratie est inutile et futile. […] Une fois qu’une nation s’est séparée du contrôle de son crédit, les gens qui font les lois importent peu. […] Les usuriers une fois au pouvoir détruiront la nation.”

William Lyon Mackenzie King (1874-1950), Premier Ministre du Canada de 1921 à 1930 et de 1935 à 1948

“Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l’exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés.”

David Rockefeller, Baden-Baden, Allemagne, 1991

“Nous sommes des conquis contents.”

Georges Dor (1931-2001), chanteur et écrivain québécois

“Les chaînes d’or ne sont pas moins chaînes que les chaînes de fer.”

Francois de Salignac de La Mothe (1651-1715) dit Fénelon, archevêque et écrivain français

“Chaque enfant est le nôtre.”

Devise de l’UNICEF (United Nations Children’s Fund)

“Faire de la politique quand on est pauvre, c’est faire de la pauvre politique.”

Jean Lapierre, politicien canadien

“Pour nous unir, nous avons besoin d’un ennemi commun.”

Condoleeza Rice, alors responsable de la Sécurité Nationale dans l’administration Bush, mars 2000

“Nous serons tous ultimement jugés sur les efforts que nous aurons investi à la construcion d’un Nouvel Ordre Mondial.”

Robert Kennedy (1925-1968), sénateur et candidat à la présidence Américaine assassiné, comme son frère John Fitzgerald Kennedy

“La politique est l’ensemble des procédés par lesquels des hommes sans prévoyance mènent des hommes sans mémoire.”

Jean Mistler (1897-1988), auteur et homme politique français

“L’avancement du progrès global est maintenant possible seulement à travers une quête pour un consensus universel dans le mouvement vers le Nouvel Ordre Mondial.”

Mikhail Gorbachev, Président de l’Union Soviétique de 1990 à son démantellement, dans un discours aux Nations-Unies en 1988

Preuve Visuelle! Première page d’un journal de Milwaukee …

“La possession privée de terrains contribue à l’injustice sociale… Le contrôle public de l’utilisation des terrains est par conséquent indispensable.”

Rapport de la conférence “Habitat 1″ des Nations Unies, 1976

“Si vous ne faites affaire qu’avec le type de “bons gars certifiés”, vous ne découvrirez pas que ce que les méchants font. Ils doivent être capable de pénétrer ces organisations. Vous devez avoir sur la liste de paye des personnages très désagréables. Les choses sont ignobles, obscènes, dangereuses, sales, et nous avons à opérer dans cette arène. Je suis convaincu que nous pouvons le faire, nous pouvons le faire avec succès mais pour cela nous devons nous assurer que nous n’avons pas lié les mains, si vous voulez, de nos communautés d’intelligence, en termes d’accomplissement de leur mission.”

d**k Cheney, vice-président américain, à “Meet the Press” sur NBC, 17 septembre 2001

“Les autres pays ne prendront pas connaissance de ce qu’on appelle le Nouvel Ordre Mondial d’un premier ministre Britannique qui ne peut fournir de services publics de base dirigés par son propre gouvernement défaillant.”

Tony Blair, premier ministre britannique, 5 janvier 2002

“Nous sommes devenus un des moins bien dirigé, un des plus entièrement contrôlé et dominé des Gouvernements du monde, non plus un gouvernement de libre opinion, non plus un gouvernement par conviction et vote de la majorité, mais un gouvernement par l’opinion et la coercition d’un petit groupe d’hommes dominants.”

Woodrow Wilson (1856-1924), 28e président américain

“Il y a un plan systématique pour utiliser les concepts d’afrontement de façon à réarranger les pièces sur l’échiquier mondial. Tout ceci est en rapport avec le Nouvel Ordre Mondial, le Globalisme et les affronts à la souveraineté nationale auxquels nous assitons. Occasionellement, les globalistes qui veulent un Gouvernement Mondial Unique doivent se tourner vers la guerre pour accélérer les choses.”

Joel Skousen, expert américain de renommée mondiale en sécurité intérieure et lois constitutionnelles

“Je veux effrayer le reste du monde.”

Colin Powell, en référence à la puissance militaire américaine avant le début de la guerre du golfe de 1991

“Il est défendable que le succès de l’industrie de la propagande à nous persuader, depuis si longtemps, que nous sommes libres de toute propagande, est l’une des réussites propagandistes les plus significatives du 20e siècle.”

Alex Carey, Auteur de “Taking The Risk Out Of Democracy”

“Pour pouvoir stabiliser la population mondiale, il serait nécessaire d’éliminer 350 000 personnes par jour. C’est une chose horrible à dire, mais c’est tout aussi horrible de ne pas le dire.”

L’océanographe Jacques Cousteau (1910-1997), publié dans le Courrier, une publication de l’UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization)

“Lorsque vous avez un gouvernement efficace, vous avez une dictature.”

Harry Truman (1884-1972), 33e président américain

“Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un Nouvel Ordre Mondial, un monde où les règles de la loi, pas les règles de la jungle, gouvernent la conduite des nations. Quand nous serons victorieux, et nous le serons, nous aurons une vraie chance pour ce Nouvel Ordre Mondial, un ordre dans lequel des Nations Unies crédibles pourrait utiliser leur rôle de maintien de la paix pour réaliser la promesse et la vision des fondateurs des Nations Unies.”

Président George Herbert Walker Bush, 1991

“Pour pouvoir devenir le maître, le politicien se fait passer pour le servant.”

Charles de Gaulle (1890-1970), Général et Président Français

“Laissons les Juifs, qui proclament être le peuple élu, prouver leur titre en choisissant le chemin de la non-violence pour revendiquer leur position sur terre.”

Mahatma Gandhi (1869-1948), 26 novembre 1938

“Aujourd’hui, l’Amérique serait outrée si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour restaurer l’ordre. Demain elle en sera reconnaissante! Ceci est particulièrement vrai s’il leur était dit qu’un danger extérieur, qu’il soit réel ou promulgué, menace leur existence. C’est alors que les peuples du monde demanderont à être délivrés de ce mal. L’unique chose que tous les hommes craignent est l’inconnu. Confrontés à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés au profit de la garantie de leur bien-être assuré par le gouvernement mondial.”

Henry Kissinger, Conférence Bilderberg, Evians, France, 1991

“Les grands esprits ont toujours subit une opposition violente de la part des esprits médiocres.”

“Il faut prévenir les hommes qu’ils sont en danger de mort… la science devient criminelle.”

Albert Einstein (1879-1955)

“Répétez un mensonge assez fort et assez longtemps et les gens le croieront.”

“Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d’une mort soudaine.”

Adolf Hitler (1889-1945)

“Il y a une chose plus forte que toutes les armées du monde, c’est une idée dont le temps est venu.”

Victor Hugo (1802-1885), auteur et poète Français

“C’est excitant d’avoir une vraie crise entre vos mains, quand vous avez passé la moitié de votre vie politique à vous occuper de questions assommantes comme l’environnement.”

Margaret Thatcher, première ministre britannique de 1979 à 1990

“Peu importe le prix de la Révolution Chinoise, elle a réussie de façon évidente; non seulement en produisant une administration plus dévouée et efficace, mais aussi en stimulant un moral élevé et une communauté d’ambitions. L’expérience sociale menée en Chine sous la direction du Président Mao est l’une des plus importante et des plus réussie de l’histoire humaine.”

David Rockefeller, commentant sur Mao Tse-tung, cité dans le New York Times du 8 octobre 1973

“La liberté concerne l’autorité. La liberté se rapporte à la volonté de chaque être humain de céder aux autorités législatives une grande quantité de discrétion sur ce que vous faites.”

Rudolf Giuliani, maire de New York de 1993 à 2001, “héros” des “événements” du 11 septembre 2001

“La Vérité est plus étrange que la Fiction, puisque la Fiction est obligée de s’en tenir aux possibilités; pas la Vérité.”

Mark Twain, pseudonyme de Samuel Langhorne Clemens (1835-1910), auteur Américain célèbre

“Retrouver les scientifiques russes pourrait poser un problème, dans la mesure où la Russie ne possède pas de système de sécurité sociale comme celui dont nous disposons ici en Amérique, et qui nous permet de surveiller, de suivre ou de capturer tout citoyen américain.”

Colin Powell, Fox News, le 17 juin 2001

“Un criminel est une personne avec des instincts prédateurs qui n’a pas suffisament de capital pour former une corporation.”

Howard Scott (1890-1970), économiste et auteur

“La plupart de gens préfèrent croire que leurs dirigeants sont justes et équitables même en face de preuves du contraire, puisque lorsqu’un citoyen reconnait que le gouvernement sous lequel il vit ment et est corrumpu, il doit décider de ce qu’il compte faire.

Poser des actions face à un gouvernement corrompu représente des risques d’atteintes à sa vie ou à celle d’êtres chers. D’un autre coté, choisir de ne rien faire implique de trahir toute idéologie personnelle de “défense de ses principes”.

La majorité des gens n’ont pas le courage de faire face à ce dilemme.

Par conséquent, la plupart de la propagande n’est pas conçue pour tromper l’esprit critique, mais simplement pour donner aux lâches d’esprit une excuse pour ne pas penser du tout.”

Michael Rivero, webmestre du site www.whatreallyhappened.com

“Le meilleur argument contre la démocratie est une conversation de cinq minutes avec l’électeur moyen.”

Winston Churchill (1874-1965), Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955

http://www.zore.org/citations-concernant-le-nouvel-ordre-mondial/

Orwell se retourne dans sa tombe



Partie 1/6

"Orwell se retourne dans sa tombe" de Robert Kane Pappas, se veut la critique définitive du quatrième pouvoir, considéré autrefois comme le bastion de la démocratie américaine.

En se demandant si l’Amérique est entrée dans un monde orwellien au double langage où les mensonges peuvent passer pour la vérité, Pappas explore ce dont les médias n’aiment pas parler, c’est-à-dire eux-mêmes.

Retraçant méticuleusement le processus par lequel les médias déforment et censurent les événements d’actualité, Pappas présente de fascinantes et éloquentes interventions de professionnels des médias.

Parmi les intervenants, l’on trouve Charles Lewis, directeur du Centre pour l’Intégrité Publique; Vincent Bugliosi, ancien procureur de Los Angeles; le réalisateur et auteur Michael Moore; le Républicain Bernie Sanders; Danny Schecter, auteur et ancien producteur pour ABC et CNN; et Tony Benn, ancien membre du Parlement britannique.

http://www.dailymotion.com/video/x3wij6_16-orwell-se-retourne-dans-sa-tombe_politics

Dantec ou la bonne parole



http://www.youtube.com/watch?v=YfIJGkRsaXM

Une Résistante à l'Etat-Maquereau : un exemple (1)



Ghislaine Lanctôt arrêtée le 03 avril 2008 :
http://www.cyberpresse.ca/article/20080404/CPACTUALITES/804040630/5264/CPACTUALITES

Une nouvelle maladie mentale a été rajoutée au DMS de la psychiatrie aux E-U. "La conspirationite du complot" a été classée comme étant une psychose/névrose/paranoïaque/mégalomanie et doit être soignée avec ou sans le consentement du patient. C'est bien, non ? Par-contre tout dissident ou résistant en temps de l'imposition de la Loi Martiale, qui nous guette d'un mois à l'autre, sera considéré comme terroriste. Bonjour le waterboarding ! C'est autorisé comme torture par Bush lui-même.
(Nenki)
2ème partie :
http://www.dailymotion.com/video/x4od6t_une-resistante-a-letatmaquereau-un_politics

Elite maçonnique



http://www.dailymotion.com/video/x6y3rp_elite-maconnique


"les dirigeants ne sont pas une "élite", puisqu'une élite est censée etre constituée des meilleurs.(plus honnêtes, pus courageux, plus volontaires...)

ils se font appeller élite alors qu'eux ne sont que des gens qui se partagent le pouvoir en se cooptant.

et au niveau morale publique et privée (et là c'est pas triste) ils sont loin d'être une élite.

il faut remplacer le terme inaproprié d'élite par OLIGARCHIE qui est plus approprié comme définition.

ne jamais employer les code de vocabulaire de l'adversaire, ils ont une importance considérable sur l'inconscient."

Eva Joly : Affaires de fric



http://www.dailymotion.com/video/x2kjst_affaires-de-fric_politics

TESTAMENT DE SAINT LOUIS


Testament de saint Louis

Beau Fils, la première chose que je t’enseigne est que tu mettes tout ton cœur à aimer Dieu. Car sans cela nul ne peut se sauver.

Garde-toi de faire chose qui à Dieu déplaise, c’est-à-dire mortel péché. Tu devrais même souffrir toutes manières de tourment plutôt que de pécher mortellement.

Si Dieu t’envoie adversité, souffre-la en bonne grâce et en bonne patience, et rends-Lui en grâce et pense que tu l’as bien desservi et qu’il tournera tout à ton profit.

S’il te donne prospérité, L’en remercie humblement, en sorte que tu n’en sois pas pire ou par orgueil ou par autre manière, de ce dont tu dois mieux valoir. Car l’on ne doit pas Dieu de ses dons guerroyer.

Confesse-toi souvent, et élis confesseurs prud’hommes qui te sachent enseigner ce que tu dois faire et de quoi tu dois te garder…

Le service de Sainte Eglise écoute dévotement sans bourder et rire, regarder çà et là ; mais prie Dieu de bouche et de cœur en pensant à Lui dévotement et spécialement à la Messe à l’heure que la Consécration est faite.

Le cœur aie doux et pitoyable aux pauvres et à ceux qui souffrent de cœur et de corps, et les conforte et leur aide selon ce que tu pourras.

Maintiens les bonnes coutumes du royaume et les mauvaises abaisse.

Ne convoite pas sur ton peuple, ne le charge pas d'impôts ni de taille, et si ce n’est par trop grand besoin.

Si tu as quelque affliction de cœur, dis-la aussitôt à ton confesseur ou à quelque prud’homme. Ainsi tu la porteras plus légèrement.

Gardes que tu aies en ta compagnie tous prud’hommes, soit religieux, soit séculiers ; aie souvent parlement avec eux et fuis la compagnie des mauvais.

Et écoute volontiers les semons ou publics ou privés ; et recherche volontiers prières et pardons.

Aime tout bien et hais tout mal en quoi que ce soit.

Nul ne soit si hardi qu’il dise devant toi parole qui attire ou pousse à pécher, ou qu’il médise par détraction.

Ne souffre que l’on dise devant toi nulle vilenie de Dieu ni de ses saints, que tu n’en fasses tantôt vengeance.

Rends souvent grâces à Dieu de tous les biens qu’Il t’a faits, afin que tu sois digne d’en plus avoir.

Pour justice et droiture garder, sois raide et loyal envers tes sujets, sans tourner ni à droite ni à gauche, mais toujours droit.

Et si un pauvre a querelle contre un riche, soutiens le pauvre plus que le riche jusques à temps que la vérité soit éclaircie.

Si quelqu’un a querelle contre toi, sois toujours pour lui et contre toi jusque l’on sache la vérité. Car ainsi jugeront les conseillers plus hardiment selon droiture et selon vérité.

Si tu retiens rien d’autrui, ou par toi ou par tes devanciers, si c’est chose certaine, rends sans tarder. Si c’est chose douteuse, fais enquérir par sages hommes en hâte et diligemment.

À cela tu dois mettre toute ton attention que tes gens et tes sujets vivent en paix et en droiture sous toi, mêmement les bonnes villes et les bonnes cités de ton royaume ; et les garde en l’état et en la franchise où tes devanciers les ont gardées. Et s’il y a choses à amender, amende-les et les redresse, et les tiens en faveur et amour.

Car par la force et la richesse de tes bonnes villes, les particuliers et étrangers redouteront de se mal conduire envers toi, spécialement les pairs et les barons. Il me souvient de Paris et des bonnes villes de mon royaume, qui m’aidèrent contre les barons quand je fus nouvellement couronné.

Honore et aime particulièrement les religieux et toutes personnes de sainte Eglise.

L’on raconte du roi Philippe, mon aïeul, qu’une fois un de ses conseillers lui dit que la sainte Eglise lui faisait grands torts et forfaits, en ce que les clercs lui ôtaient de son droit et empiétaient sur sa justice ; que c’était grande merveille qu’il le souffrît. Et le bon roi répondit qu’il le croyait bien. Mais quand il regardait les bontés et les courtoisies que Dieu lui avaient faites, il aimait mieux laisser son droit aller que susciter contestation ou scandale à la Sainte Eglise.

À ton père et à ta mère tu dois honneur et révérence porter, et garder leurs commandements.

Aime tes frères et veuille toujours leur bien et leur avancement, et tiens leur lieu de père pour les enseigner sur tout bien. Garde-toi que, par amour pour eux, tu te détournes de faire droit et que tu ne fasses à autrui chose que tu ne dois.

Donne les bénéfices de sainte Eglise à personnes bonnes et dignes, et sur le conseil de prud’hommes. Et donne à ceux qui n’ont rien de sainte Eglise.

Garde-toi d’exciter guerre sans très grande délibération et surtout contre tout homme chrétien. S’il faut la faire, garde sainte Eglise et ceux qui n’ont en rien méfait, de tout dommage.

Apaise au plus tôt que tu pourras guerres et conflits soit tiens, soit de tes sujets comme Saint Martin faisait ; car, au temps que par Notre Seigneur il savait qu’il devait mourir, il alla pour mettre la paix entre les clercs de son archevêché ; et lui fut avis que, ce faisant, il faisait bonne fin.

Sois diligent d’avoir bons prévôts et bons baillis et enquiers souvent d’eux et de ceux de ta maison, comme ils se conduisent.

Cher Fils, je t’enseigne que tu sois toujours dévot à l’Eglise de Rome et au souverain pontife, notre père, et que tu lui portes révérence et honneur comme tu dois à ton père spirituel. Travaille-toi à empêcher tout péché et principalement vilain sermon et fais détruire les hérésies suivant ton pouvoir.

Encore je te requiers que tu reconnaisses les bienfaits de Notre-Seigneur et que tu lui rendes grâces et merci.

Prends garde que les dépenses de ton hôtel soient raisonnables et mesurées.

Enfin, doux fils, je te conjure et requiers que, si je meurs avant toi, tu fasses secourir mon âme en messes et oraisons, par tout le royaume de France, et que tu m’accordes une part spéciale et plénière dans tout le bien que tu feras.

En dernier, cher fils, je te donne toutes bénédictions que bon père et pieux peut donner à son fils, et que benoîte Trinité et tous les saints te gardent et te défendent de tout mal ; et que Dieu te donne sa grâce de faire sa volonté toujours, de sorte qu’il soit honoré par toi.

Et que nous puissions après cette mortelle vie être ensemble avec Lui et Le louer sans fin.

Amen.

TESTAMENT DE SAINT REMI


TESTAMENT DE SAINT REMI

« Que le présent testament que j'ai écrit pour être gardé respectueusement intact par mes successeurs les évêques de Reims, mes frères, soit aussi défendu, protégé partout envers et contre tous par mes très chers fils les rois de France par moi consacrés au Seigneur à leur baptême, par un don gratuit de Jésus-Christ et la grâce du Saint-Esprit.
Qu'en tout et toujours il garde la perpétuité de sa force et l'inviolabilité de sa durée...
Mais par égard seulement pour cette race roy ale qu'avec tous me frères et coévêques de la Germanie, de la Gaule et la Neustrie, j'ai choisie délibérément pour regner jusqu'à la fin des temps, au sommet de la majesté royale pour l'honneur de la Sainte Eglise et la défense des humbles.
Par égard pour cette race que j'ai baptisée, que j'ai reçue dans mes bras ruisselante des eaux du baptême: cette race que j'ai marquée des sept dons du Saint-Esprit, que j'ai ointe de l'onction des rois, par le Saint Chrême du même Saint-Esprit;
J'ai ordonné ce qui suit:

I° MALÉDICTIONS

Si un jour cette race royale que j'ai tant de fois consacrée au Seigneur, rendant le mal pour le bien, lui devenait hostile; envahissait ses Églises, les détruisait, les dévastait:
Que le coupable soit averti une première fois par tous les évêques réunis du diocèse de Reims.
Une deuxième fois par les églises réunies de Reims et de Trêves. (Ainsi, à l'origine même de notre Histoire, nous trouvons indiquée, comme frontière naturelle de notre pays, la rive gauche du Rhin.)
Une troisième fois par un tribunal de trois ou quatre archevêques des Gaules.
Si à la septième monition il persiste dans son crime, trêve à l'indulgence! Place à la menace!
S'il est rebelle à tout, qu'il soit séparé du corps de l'Eglise, par la formule inspirée aux évêques par l'Esprit-Saint : parce qu'il a persécuté l'indigent, le pauvre, au coeur contrit; parce qu'il ne s'est point souvenu de la miséricorde; parce qu'il a aim é la malédiction, elle lui arrivera; et n'a point voulu de la bénédiction, elle s'éloignera.
Et tout ce que l'Eglise à l'habitude de chanter de Judas le traitre et des mauvais évêques, que toutes les Eglises le chantent de ce roi infidèle.
Parce que le Seigneur a dit: "Tout ce que vous avez fait au plus petit des miens, c'est à Moi que vous l'avez fait, et tout ce que vous ne leur avez pas fait , c'est à Moi que vous ne l'avez pas fait.
Qu'à la malédiction finale on remplace seulement, comme il convient à la personne, le mot épiscopat par le mot royauté:
Que ses jours soient abrégés et qu'un autre reçoive sa royauté!
Si les archevêques de Reims, mes successeurs, négligent ce devoir que je leur prescris, qu'ils reçoivent pour eux la malédiction destinée au prince coupable: que leurs jours soient abrégés et qu'un autre occupe leur siège.

II° BÉNÉDICTIONS

Si Notre-Seigneur Jésus-Christ daigne écouter les prières que je répands tous les jours en sa présence, spécialement pour la persévérance de cette race royale, suivant mes recommandations, dans le bon gouvernement de son royaume et le respect de la hiérarchie de la Sainte Eglise de Dieu.
Qu'aux bénédictions de l'Esprit-Saint déjà répandues sur la tête royale s'ajoute la plénitude des bénédictions divines!
Que de cette race sortent des rois et des empereurs (Comme les Rois de France ont été fidèles! Le nombre des couronnes que leur race a portées est là pour le prouver, la Race Royale de France a régné en effet en France, en Lorraine, en Allemagne, en Hongrie, en Pologne, en Savoie, en Italie, à Constantinople, en Espagne, à Parme, à Naples, en Sicile, au Portugal, en Autriche, au Brésil, etc...) qui, confirmés dans la vérité et la justice pour le présent et pour l'avenir suivant la volonté du Seigneur pour l'extension de la Sainte Eglise, puissent régner et augmenter tous les jours leur puissance et méritent ainsi de s'asseoir sur le trône de David dans la céleste Jérusalem où ils règneront éternellement avec le Seigneur. Ainsi soit-il. »